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ABC Sobriété

La méthode pour en finir avec la culpabilité.

C’est décidé, cette année, vous allez tenter de relever le Dry January ! Vous voulez vous offrir un mois sans alcool et voir les bénéfices de la sobriété sur votre santé et votre moral. Je ne peux que vous féliciter pour ce choix. Vous verrez, après un mois de sobriété, il est possible que vous ayez envie de changer votre relation à l’alcool. Mais avant cela, l’idée de vous lancer dans ce défi peut vous sembler un peu angoissante. Pour vous accompagner pendant ce challenge personnel, je partage avec vous quelques conseils pour réussir le Dry January.

Anticiper

Anticiper le Dry January

La réussite du Dry January repose en grande partie sur une bonne préparation. Prendre le temps de planifier les situations sociales et les moments où l’envie de boire pourrait se faire sentir rend le défi plus simple à gérer. Anticiper, c’est se donner des repères et des solutions en amont pour éviter de céder à la tentation. Par exemple, choisir à l’avance des boissons sans alcool que l’on apprécie, réfléchir à des alternatives pour les sorties entre amis, ou même prévoir des activités motivantes pour occuper les moments libres.

Relever le défi en groupe, comme au sein de votre équipe de travail, est aussi un excellent moyen de se motiver : une belle initiative qui, elle aussi, demande de la préparation pour établir les règles, organiser des moments d’échange, et se soutenir tout au long du mois. En vous y préparant, vous renforcez votre engagement et abordez chaque jour de janvier avec sérénité et confiance.

Changer d’état d’esprit

Au lieu de penser sans arrêt à l’alcool et aux sacrifices que vous réalisez, pensez plutôt à tout ce que vous offrez à votre corps et à votre esprit en étant sobre. Un mois sans alcool vous apportera des bénéfices importants comme un meilleur sommeil, plus d’énergie, de la confiance en vous. Ne vous focalisez pas sur le manque d’alcool mais pensez plutôt au très beau cadeau que vous vous faites en relevant ce défi.

Définissez les raisons personnelles qui vous poussent à participer au Dry January. Que cherchez-vous à obtenir ? Une meilleure santé ? Un challenge à relever ? Une expérience sociale différente ? Avoir des objectifs clairs peut renforcer votre motivation et vous aider à tenir vos résolutions. Entamez cette période avec joie et détermination et non avec tristesse et appréhension. Votre état d’esprit fera toute la différence dans la réalisation de ce défi.

Bouger

Marcher pour réussir le Dry January

L’activité physique vous aidera sans aucun doute à tenir vos engagements avec vous-même. Sportif aguerri ou adepte du canapé, changez vos habitudes pour transformer votre mois de janvier en une expérience complète.

Si vous êtes déjà sportif, ne cherchez pas forcément à en faire plus mais essayez d’être plus à l’écoute de votre corps, de vos sensations, de votre capacité de récupération. Au fil des semaines sans alcool, vous devriez voir une évolution positive et l’apprécier.

Si vous n’êtes pas ou peu sportif, c’est le moment idéal pour vous mettre à la marche par exemple. Cette activité réalisée en douceur et régulièrement vous apportera un équilibre et vous permettra de vous sentir mieux au fil du temps. Faire trois séances de marche d’au moins 20 minutes par semaine est idéal pour ressentir tous les bénéfices de la marche.

Mais si vous préférez courir, nager, skier, danser, surtout ne vous en privez pas. Quoi qu’il en soit, profitez de cette période pour être attentif et bienveillant envers votre corps.

Renforcer votre estime

Vous avez envie de réussir le Dry January mais vous avez peur de ne pas y arriver ? Vous pensez qu’un mois sera trop long pour vous ?

Et si vous faisiez au jour le jour ? Ne pensez pas à tout le mois de janvier à la fois mais concentrez-vous plutôt sur un jour à la fois. Le 1er janvier, dites-vous juste : « Aujourd’hui je ne bois pas. Demain est un autre jour ». Faites un jour après l’autre mais n’oubliez pas de vous féliciter ,chaque soir, pour votre réussite. Chaque matin du mois de janvier, relisez la liste de vos raisons de rester sobre et prenez un moment pour les répéter à haute voix.

Chaque jour qui passe va renforcer votre propre estime et vous faire gagner en confiance. Voir que vous êtes capable de relever ce défi va créer ou alimenter une vision positive de vous même et entretenir un cercle vertueux. Vous verrez, vous allez adorer ressentir cela, n’en doutez pas.

Si vous avez bu un jour parce que c’était trop difficile pour vous, rien ne vous empêche de recommencer votre challenge le lendemain. Ne vous laissez pas abattre ou décourager pour un faux pas. Un petit (ou grand) relâchement ne doit pas remettre en question l’ensemble de votre désir de réussir le Dry January. En cas de « couac », on se remotive et on repart du bon pied.

Écrire

Ecrire pour réussir le Dry January

Je vous recommande vivement de tenir un carnet spécial « Dry January ». Écrire permet, entre autres choses, d’organiser et de clarifier ses pensées.

Commencez par lister et noter les raisons pour lesquelles vous voulez être sobre pendant un mois. Vous pouvez y ajouter une citation inspirante qui vous plaît particulièrement. Relire cette liste chaque matin devrait vous motiver.

Vous pourrez également noter chaque jour vos émotions et ressentis : poser vos émotions sur le papier vous aidera à gérer vos éventuelles angoisses ou le stress du quotidien.

Pensez aussi à écrire vos petites victoires pour célébrer vos réussites. Par exemple : « Aujourd’hui j’ai réussi à refuser un verre d’alcool à l’apéro chez des amis. Je suis fier/fière de moi » . Vous pouvez également profiter de l’occasion pour écrire trois gratitudes pour la journée qui se termine à la manière de Florence Servan-Schreiber et de ses 3 kiffs par jour.

Écrire est un vrai soutien au quotidien, il est même possible que vous vous preniez au jeu en continuant à tenir un carnet passé le mois de janvier.

Petites astuces pour réussir le Dry January :

  • Coller des post-it personnalisés sur votre miroir, votre frigo, votre porte d’entrée. Vous pouvez y écrire « Je fais le Dry January et j’en suis fier » ou « Je relève le défi du Dry January avec détermination » ou encore « Sobre et heureux »…
  • Consulter le site officiel du Dry January et installer l’application sur votre téléphone.
  • Achetez-vous des boissons sans alcool qui vous font plaisir.
  • Relever le défi à plusieurs avec des amis, des collègues…
  • Créer une playlist de vos musiques préférées à écouter en cas de baisse de moral ou de motivation.
  • Anticiper les tentations en ayant un plan pour chaque occasion.
  • Enfin, soyez déterminé et fier de relever le défi du mois de janvier sans alcool.

Vous avez toutes les cartes en main pour réussir le Dry January, mais n’oubliez pas : votre meilleur atout, c’est vous. Croyez en vous et en vos capacités de détermination pour relever ce défi, le reste suivra.

Si vous êtes dépendant à l’alcool, je vous recommande la plus grande prudence. Il peut être dangereux d’entamer un sevrage seul. N’hésitez pas à prendre contact avec votre médecin avant de vous lancer. Si vous ressentez le moindre symptôme violent suite à l’arrêt de l’alcool, composez le 15 sans attendre et exposez votre situation avec honnêteté.

Pour aller un peu plus loin et pour vous aider à réussir votre mois de sobriété, je vous recommande les articles suivants :

Avez-vous envisagé de réserver un bilan sobriété ? Le faire devrait vous aider à relever le Dry January avec plus de facilité et vous permettra d’envisager votre sobriété avec sérénité.

Enfin, j’organise des conférences spéciales « Réussir le Dry January » pour les entreprises. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez en organiser une dans votre structure.

Je vous souhaite un excellent mois de janvier sans alcool.
Vous avez le pouvoir de réussir le Dry January, n’en doutez pas.

Laurence

J’ai été dépendante à l’alcool pendant plus de vingt ans. M’imaginer sobre était tout simplement impossible pour moi. Pourtant, après de nombreux essais et « échecs », j’ai réussi à arrêter de boire. Je l’ai vécu comme une grande fierté. Cependant, j’aurais eu besoin de conseils pour mieux vivre ma nouvelle vie sans alcool. Arrêter de boire, est une chose mais réapprendre à vivre autrement en est une autre. Voilà pourquoi je vous propose aujourd’hui cet article sous forme de guide pratique : comment se reconstruire après une dépendance à l’alcool.

Se donner du temps

Arrêter de boire demande du temps et de la patience. La reconstruction après l’arrêt de l’alcool prend plusieurs mois, voire beaucoup plus selon les cas. Pendant des années, vous avez été conditionné par l’alcool et la dépendance, fonctionnant d’une certaine manière. Après avoir arrêté de boire, vos habitudes, vos fonctionnements et votre personnalité vont changer. C’est normal et positif. Pourtant, comme tout changement, votre sobriété peut s’accompagner de doutes et de tensions. En avoir conscience vous aidera à accepter cette période de transition et à ne pas vouloir brûler les étapes trop vite. Prenez le temps d’apprivoiser la nouvelle personne que vous devenez et laissez aussi le temps à votre entourage de s’y habituer. Cette période peut s’avérer beaucoup plus délicate que vous ne l’auriez pensé. Ne vous laissez pas déstabiliser par cette évolution. Même positive, elle peut être perturbante.

Offrez-vous du temps, de la bienveillance et continuez de célébrer votre sobriété au quotidien.

Prendre soin de son corps pour se reconstruire après l’alcool

Des années de dépendance entraînent immanquablement des conséquences physiques. Outre le fait que vous avez peut-être négligé votre corps pendant longtemps, celui-ci a besoin d’une attention particulière maintenant que vous êtes sobre. Prenez du temps pour votre corps et découvrez petit à petit comment prendre soin de lui. Vous pouvez, par exemple, faire appel à un esthéticienne, ou mieux, une socio-esthéticienne pour vous réconcilier avec votre corps si vous en ressentez le besoin. Le yoga peut être un allié de taille pour réapprendre à écouter votre corps. N’hésitez pas à chercher un cours proche de chez vous. En général, il est possible de s’inscrire à n’importe quel moment de l’année. Vous pouvez aussi vous aider grâce à des vidéos ou des conseils en ligne. Certains sophrologues sont également spécialisés en suivi des addictions, c’est une piste intéressante pour votre rétablissement si vous en ressentez le besoin.

Guide se reconstruire après l'alcool

Apprendre à se connaître

Après avoir traversé le tumulte de la dépendance apprendre à se connaître est une nécessité profonde. En explorant vos forces et vos faiblesses, vous pourrez mieux comprendre les déclencheurs qui ont alimenté votre dépendance, et ainsi, développer des stratégies pour les surmonter. L’introspection permet de reconstruire son identité avec honnêteté et compassion et de vous éloigner des schémas destructeurs du passé. Apprendre à se connaître, c’est aussi devenir plus résilient face aux défis. Se connaître devient alors non seulement un chemin vers une sobriété durable mais aussi une source de force et de progression dans tous les aspects de la vie. Là encore, le temps est votre meilleur allié. Posez-vous un maximum de questions et essayez d’y répondre pour mieux vous découvrir. Si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un psychologue ou un psychiatre durant cette période particulière.

Apprivoiser ses émotions

Se reconstruire après avoir connu l’alcool demande du temps et du courage. La dépendance peut cacher un trouble dépressif ou un trouble anxieux. Avoir arrêté de boire est une excellente chose mais peut aussi mettre en évidence une fragilité persistante. Le comprendre et en avoir conscience vous permettra de mettre en place les soins nécessaires. Si vous n’avez pas bénéficié d’un accompagnement personnalisé pendant votre sevrage, il n’est pas trop tard pour vous faire aider en fonction de vos besoins. Il est important d’y penser car l’arrêt de l’alcool va vous permettre de vous reconnecter à vos émotions profondes ce qui n’est pas toujours facile à vivre au quotidien. Pour vous aider, vous pouvez retrouver de nombreuses informations et ressources sur le site Psycom. Pour se reconstruire, il est important d’apprivoiser ses émotions et de mieux les connaître afin d’éviter de se sentir submergé en cas de difficultés imprévues.


Rester vigilant pour se reconstruire après l’alcool

Demander de l’aide n’est pas une forme de faiblesse mais, au contraire, une preuve de courage.

Si cette période de reconstruction après la dépendance s’avère trop difficile pour vous, ne renoncez pas. Vous pouvez demander de l’aide à votre médecin ou à l’équipe qui vous a aidé à arrêter de boire. Vous pouvez aussi rejoindre un groupe de parole et pourquoi pas vous mettre à tenir un journal. L’écriture permet de canaliser et d’exprimer les émotions générées par des périodes particulières. Écrire peut contribuer à renforcer votre résilience en vous aidant à élaborer des stratégies pour faire face aux défis de la récupération. En ce qui me concerne, j’ai tenu un journal pendant la première année de ma sobriété. J’avais arrêté au bout d’un an en pensant ne plus avoir besoin de l’écriture mais j’y suis finalement revenue. Tenir un journal fait désormais partie de mon quotidien. Je recommande vivement l’écriture comme soutien pour se reconstruire après l’alcool.

Connaître ses besoins

Cultiver une bonne santé physique et mentale est essentiel pour se reconstruire après l’alcool. Prendre soin de soi permet de maintenir la sobriété sur le long terme. Pour cela il est impératif que vous connaissiez vos propres besoins pour vous sentir bien. Il est tout aussi important de faire en sorte de ne pas les négliger. Je vous partage la liste de mes besoins à titre d’exemple. A vous de chercher ce que vous pourriez mettre dans votre liste pour être « bien » et ne pas vous mettre en danger de rechute. Bien sûr, certains points peuvent être communs à votre liste et à la mienne. Le tout est de ne pas perdre de vue vos « essentiels » une fois que vous les aurez identifiés :

  • Marcher régulièrement en pleine nature
  • Écrire
  • Pouvoir m’isoler et être seule régulièrement
  • Ne pas me surmener
  • Passer du temps avec les gens que j’aime
  • Dormir suffisamment
  • Cuisiner et manger le moins de produits transformés
  • Relire mon carnet de sobriété
  • Lire, écouter de la musique, rêver, faire des projets…

Guide pratique : comment se reconstruire après l’alcool ?

Le plus important pour se reconstruire après une dépendance est de se laisser du temps. Du temps pour se re-connaître et s’adapter aux changements. Il faut aussi du temps pour prendre soin de sa santé mentale et de son corps. Du temps pour mieux connaître ses émotions et les accepter… De mon côté si j’avais bien compris qu’il fallait du temps pour réussir à arrêter de boire, je n’avais pas anticipé le temps qu’il faudrait pour m’habituer à ma nouvelle vie sans alcool. La sobriété est un cadeau précieux, mais toutes les étapes, même après le sevrage, ne sont pas linéaires ni faciles. En avoir conscience est primordial pour ne pas se laisser déstabiliser ou décourager.

Pour aller plus loin :

Marcher pour rester sobre

Comment rester sobre en cas de coups durs

La consolidation, apprentissage de la vie sans alcool

Mocktail sérénité d’automne

L’automne est souvent synonyme de journées plus courtes, de températures qui baissent et d’un rythme de vie qui s’accélère. Il est indispensable de prendre soin de soi afin de garder le moral et la forme en cette saison. Quoi de mieux pour se détendre qu’une boisson réconfortante et apaisante ? Aujourd’hui, ABC Sobriété vous propose de découvrir son mocktail sérénité d’automne. Cette boisson sans alcool marie parfaitement les saveurs automnales et les bienfaits d’une tisane exceptionnelle proposée par la marque Comme des Tisanes. Ce mocktail unique, concocté à partir de plantes soigneusement sélectionnées pour leurs vertus, saura vous offrir un moment de bien-être tout en douceur. Préparez-vous à une pause gourmande et apaisante, idéale pour accompagner vos soirées d’automne.

Mocktail sérénité d'automne

Une passion pour les plantes et la santé

Oubliez les tisanes de mamie pour découvrir les infusions créatives uniques et originales proposées par Comme des Tisanes.

Stéphane Rossi est pharmacien, herboriste mais aussi un peu magicien. Il a créé l’herboristerie Au temps des fées pour proposer des infusions 100% naturelles, qui allient avec poésie les vertus et les saveurs d’une centaine de plantes médicinales.

Ouvrir une boîte d’infusion imaginée par Stéphane, c’est accéder à un univers riche et onirique. À la dégustation, c’est une explosion de bouquets d’arômes floraux, herbacés, fruités ou épicés, que l’on découvre.

Enfin, chaque recette est élaborée artisanalement en France, au cœur des Alpes et contrôlée BIO par Ecocert.


Les bienfaits du mocktail :

La tisane Le Dodo est la base de ce mocktail sérénité d’automne. Elle marie les notes d’agrumes, d’ananas et d’épices douces. Très apaisante grâce à la feuille de bigaradier, elle vous aidera à trouver réconfort et apaisement chaque soir. Je l’ai moi-même testée à plusieurs reprises pour créer ce mocktail sérénité. Je peux vous assurer que cette tisane tient toutes ses promesses et favorise véritablement un meilleur sommeil.

Le lait de noisette est bon pour le cœur grâce à ses acides gras mono et polyinsaturés, qui réduisent le cholestérol et les triglycérides, tout en augmentant le bon cholestérol. Il est également source d’acides aminés essentiels, de bonnes graisses, de vitamines et de minéraux. Faible en calories et au goût doux et réconfortant, il a toutes les qualités pour un mocktail sérénité apaisant.

Le miel, quant à lui, est déjà réputé pour ses nombreuses vertus, notamment ses propriétés antirhumatismales, antispasmodiques, antiseptiques et anti-inflammatoires. C’est un allié indispensable pour l’automne.

Le mocktail sérénité d’automne n’a que 3 ingrédients ce qui le rend à la fois simple à préparer et parfait pour profiter rapidement d’une boisson apaisante et délicieuse. Vous pourrez bénéficier de ses bienfaits durant l’automne, mais aussi en hiver.

La recette du mocktail sérénité :

Les ingrédients :

  • 14 cl de tisane Le Dodo
  • 4 cl de lait de noisette
  • 1 petite cuillère de miel (de lavande si possible)

Marche à suivre pour préparer le mocktail sérénité :

Le mocktail sérénité d’automne peut être consommé aussi bien chaud que froid. Il a l’avantage d’être aussi bon dans les deux versions. Je vous invite d’ailleurs à essayer de le boire chaud et froid pour ressentir ses saveurs subtiles différemment. La marche à suivre est la même dans les deux cas : pour la version froide, le plus simple est de réaliser votre mocktail le matin et de mettre votre boisson au frigo jusqu’au soir. Pour la version chaude, il suffit de préparer le mocktail au moment où vous souhaitez le boire.

Faites infuser la tisane Le Dodo – en sachet ou en vrac – 5 à 7 minutes.
Ajoutez-y la cuillère de miel, puis le lait de noisette, remuez délicatement et savourez votre boisson.
Vous allez vivre un moment de réconfort et de bien-être que vous allez vouloir retrouver chaque soir.

Miel et lait pour mocktail sérénité

Surprise et bonus :

Les tisanes peuvent être un vrai soutien dans le cadre de l’arrêt de l’alcool. Stéphane Rossi vous recommande ces tisanes pour accompagner votre sevrage :

N’hésitez pas à aller visiter la boutique en ligne Le temps des Fées pour découvrir toutes les gammes de tisanes et plantes en vrac proposées par Stéphane. Votre seule difficulté sera de réussir à faire un choix parmi les boissons proposées.

Pour pouvoir vous faire plaisir et succomber à la tentation, vous bénéficierez de 10€ de remise à partir de 50€ d’achat sur tous les produits en ligne grâce au code : ABC-Sobriété10

Mocktail sérénité d'automne

L’automne est une saison propice à l’arrêt de l’alcool. Si vous souhaitez évaluer votre consommation d’alcool, n’hésitez pas à planifier un bilan sobriété. Ce bilan personnalisé vous guidera vers les solutions et stratégies les plus adaptées pour arrêter de boire.

Reprendre le sport après une longue pause n’est jamais simple. Que l’on ait arrêté en raison de problèmes de santé, par manque de temps ou pour d’autres motifs, il faut du courage pour s’y remettre. Il faut souvent une bonne dose de volonté pour se remettre en mouvement après une interruption d’activité. Avoir traversé une période de maladie ou vécu une addiction peut rendre ce défi encore plus complexe. Alors, comment se remettre au sport à la rentrée quelle que soit votre condition actuelle ? En suivant le guide pratique proposé par ABC Sobriété :

Se faire plaisir

Avant de penser à la programmation, pensons d’abord au plaisir. Comment se remettre au sport si pour vous l’activité physique est un fardeau ? Premièrement en choisissant un sport qui vous plaise vraiment. Prenez le temps de réfléchir à vos goûts et à vos aspirations. Le faire vous permettra de choisir un sport d’équipe plutôt qu’une activité solitaire ou inversement. Vous avez besoin d’un coach, d’une équipe ou vous préférez au contraire les défis personnels ? Choisissez une activité qui corresponde à votre personnalité et à votre emploi du temps. N’hésitez pas à demander des séances d’essais avant de faire un choix. Découvrir une nouvelle salle ou tester un sport que vous ne connaissez pas encore vous permettra de choisir votre activité plus sereinement.

Femmes plaisir sport

S’organiser

Pour se remettre au sport, il est impératif de s’organiser. Ne prévoyez pas d’aller nager 3 fois par semaine si la piscine se trouve à plus de 30 minutes de chez vous par exemple. Les trajets risquent de rapidement vous décourager. Il faut trouver une activité qui soit compatible avec vos contraintes personnelles, sinon vous ne pourrez pas tenir dans le temps. Vous pouvez aussi choisir plusieurs activités différentes en fonction des jours de la semaine et de vos disponibilités. Mardi soir piscine, jeudi tennis et dimanche footing ou marche à pied par exemple.

Astuce : Vous pouvez prévoir une séance récurrente avec des amis afin de vous motiver les uns les autres chaque semaine.

PLA-NI-FIER pour se remettre au sport

Si vous ne savez pas comment vous remettre au sport, le maître mot est « planification ». En programmant vos séances sportives à l’avance, vous vous y tiendrez bien plus facilement. De même, si vous êtes inscrit à un cours, il sera plus facile de ne pas abandonner les séances. Si vous envisagez d’aller courir une fois par semaine pour commencer, il faut définir d’avance le jour et la date. Une fois vos séances programmées, notez-les dans votre agenda et tenez-vous à votre organisation. Rien de tel qu’un petit planning « sport » affiché en plus sur le frigo pour vous aider à maintenir le cap. Essayez, de préférence d’avoir une routine sportive prédéfinie (jour, horaire), ainsi il sera plus facile de maintenir vos séances dans le temps.

S’équiper

Il est plus facile de se remettre au sport avec un bon équipement. Avoir un matériel fiable vous permettra de progresser et de ne pas vous décourager. Des chaussures adaptées réduisent les risques de blessures et améliorent la stabilité, tandis que des vêtements techniques favorisent la régulation de la température corporelle et évacuent la transpiration. Certes, cela représente un petit investissement à la base mais vous verrez que vous ne le regretterez pas. Avoir pris le temps de choisir un bon équipement en fonction de vos besoins et de vos goûts vous aidera même à maintenir vos efforts dans la durée. En somme, s’équiper correctement constitue un investissement essentiel pour tirer le meilleur parti de son activité sportive et en retirer tous les bienfaits.

Il existe bien des méthodes pour atteindre un objectif, mais la meilleure est celle qui consiste à ne jamais abandonner.

Se concentrer sur les bienfaits du sport

Se remettre au sport offre bien plus que des bienfaits physiques immédiats. L’activité physique régulière crée un véritable cercle vertueux qui améliore la qualité de vie globale. Chaque séance stimule la production d’endorphines, favorisant ainsi une sensation de bien-être et réduisant le stress. À mesure que vous gagnez en énergie et en endurance, votre motivation augmente, rendant chaque entraînement plus agréable et moins contraignant. En parallèle, votre sommeil s’améliore, votre concentration s’affine, et votre confiance en vous grandit, renforçant ainsi votre détermination à continuer. Ce cycle positif transforme progressivement l’effort en plaisir, faisant de l’exercice une habitude durable et bénéfique.

Dans le cadre de l’arrêt de l’alcool ou de toute autre addiction, les bénéfices de l’activité physique sont incontestables. Pratiquer un sport est un véritable soutien qui facilite grandement l’accès à la sobriété et à son maintien.


Comment se remettre au sport – Conclusion

Pour vous le sport rime peut-être avec transpiration, perte de temps et fatigue ? Mais cela peut changer, n’en doutez pas. En vous organisant correctement, en expérimentant doucement tous les bienfaits de l’activité physique, vous allez créer un cercle vertueux qui vous incitera à continuer avec plaisir. Si vous préférez reprendre en douceur, la marche est une excellente activité physique pour reprendre contact avec son corps (et la nature). Vous pouvez commencer par marcher 10 minutes par jour puis un peu plus. Avec un peu de temps et de persévérance vous aurez envie de marcher chaque semaine un peu plus longtemps. Vous verrez, votre corps et votre esprit vous diront merci et vous finirez pas ne plus pouvoir vous en passer.

Si vous avez décidé d’arrêter de consommer de l’alcool, le sport sera un allié puissant dans le cadre de votre changement de vie. Il vous permettra de vous défouler, de garder un équilibre physique et émotionnel et de vous épanouir différemment. Pour plus de conseils et faire le point sur votre consommation, n’hésitez pas à réserver un bilan sobriété.

Prenez soin de vous.

Depuis que le Dry January existe, nous connaissons tous, ou presque, les bienfaits d’une vie sans alcool.
Un meilleur sommeil, plus d’énergie et une plus belle peau sont les avantages de la sobriété les plus souvent cités. Il existe d’autres bénéfices à arrêter de boire, souvent plus méconnus et pourtant aussi importants en matière d’équilibre global.

Un vrai gain « d’espace mental »

Vie sans alcool

Le plus difficile, lorsqu’on est dépendant, c’est le temps et l’énergie consacrés à une perpétuelle négociation avec soi-même. J’appelle « négociation » ces moments où l’on pense à l’alcool, puis on se demande quand on commencera à boire, combien de verres… Ces pensées surviennent souvent très tôt dans la journée, et les résolutions évoluent à mesure que les heures passent. Une personne dépendante peut ainsi réfléchir à l’alcool, à sa consommation, à son envie de ne pas boire, puis à celle de boire, des dizaines de fois dans la journée. Ces pensées répétitives deviennent des parasites, perturbant à la fois le travail, les moments de repos, et les événements festifs, finissant par gâcher le quotidien. Le temps passé à négocier avec soi-même, dans le silence de son esprit, est presque toujours synonyme de souffrance et d’angoisse. Renoncer à l’alcool, c’est avant tout retrouver une sérénité perdue depuis longtemps. Il faut surmonter les premières semaines du sevrage pour redécouvrir cette légèreté d’esprit qui nous a tant manqué. Mais une fois ces difficultés dépassées, quel soulagement de ne plus être envahi par ces pensées incessantes et ingérables. C’est, selon moi, le plus grand bénéfice d’une vie sans alcool.

Le retour de la créativité

Une fois la sérénité retrouvée et l’espace mental libéré, l’une des plus grande joie est de gagner en créativité. Une vraie et belle créativité, remplie d’idées inédites et insoupçonnées durant la période de dépendance. Être sobre permet de s’ouvrir à de nouvelles expériences et de nouvelles façons de penser, ce qui favorise la créativité. On a, à tort, l’image de grands artistes à qui l’alcool permet de créer des œuvres incroyables. C’est donner un pouvoir imaginaire à l’alcool car ces mêmes artistes auraient certainement créé des œuvres encore plus exceptionnelles sans les effets délétères de l’alcool. La surconsommation engendre des incertitudes, des angoisses et une confusion mentale, mais elle ne favorise pas l’émergence de pensées harmonieuses et positives. La sobriété, elle, permet de gagner en créativité et de retrouver le plaisir d’imaginer et de concrétiser de belles choses.

Créativité sobriété

La fin de la culpabilité

Le plus lourd des fardeaux à porter quand on boit est sans doute celui de la culpabilité. Culpabilité de ne pas réussir à vivre sans alcool mais aussi à ne pas être capable d’arrêter de boire. Il y a la honte de se sentir fragile voire instable. Pourquoi ai-je besoin de boire pour « y arriver » alors que les autres ont l’air de s’en sortir sans problème ? Pourquoi n’ai-je pas assez de volonté pour réussir à arrêter de boire ? La liste des questions que l’on se pose et de jugements portés sur soi-même est très longue quand on fait face à la dépendance. Si la société nous juge sévèrement, inutile de vous dire que nous nous jugeons encore plus sévèrement. De mon côté j’avais un regard terrible sur moi-même, sur mes faiblesses et sur mes soit-disant lacunes. Quand je buvais, je me détestais et j’avais honte de moi. Réussir à arrêter de boire m’a permis de me réconcilier avec moi-même et de ne plus vivre avec cette culpabilité qui m’étouffait littéralement. Arrêter l’alcool c’est à nouveau respirer profondément et être en capacité de s’aimer et d’aimer la vie qui nous entoure.

Plus d’humour

Quand on commence à boire, on imagine toujours que l’alcool va nous rendre plus drôle. D’ailleurs, la société voit les personnes sobres comme ennuyeuses et pas tellement amusantes. Ce qui est bien évidement complètement faux. Si l’alcool peut « décoincer » certaines personnes en début de soirée, inutile de vous dire qu’au-delà de quelques verres, il perd cette qualité au profit de nombreux défauts. Quoi qu’il en soit, dépendance et alcoolisme riment rarement avec joie de vivre et légèreté. Les consommations excessives entraînent souvent des pensées négatives et un comportement défensif. En outre, la culpabilité prend un telle place au quotidien, qu’elle laisse rarement de l’espace pour la gaîté. Arrêter de boire permet de gagner en bien-être et de laisser plus d’espace pour la joie et l’humour. Être sobre offre aussi la possibilité de mieux s’assumer et de pouvoir participer à des conversations gaies sans appréhension. C’est le retour de la joie authentique, sans artifices ni mensonges. Et cela aussi, je peux vous l’assurer, c’est un des réels bienfaits de la vie sans alcool.

En conclusion :

Bienfaits vie sans alcool

Arrêter de boire est bien évidement source de bienfaits pour la santé physique même si je ne l’ai pas abordé dans cet article. Mais bien au-delà du corps, c’est surtout l’état d’esprit dans son entièreté qui va se modifier pour s’ouvrir à de nouveaux possibles. Arrêter de boire, c’est se donner l’occasion de recommencer à vivre en toute liberté, autonomie et avec fierté. Être sobre c’est être capable de faire face aux moments difficiles de la vie sans alcool mais surtout de pouvoir, enfin, profiter des bons moments sans honte ni culpabilité. Je n’ai jamais regretté d’avoir arrêté de boire, vous pouvez me croire. Si vous vous posez des questions sur votre consommation, n’hésitez pas à chercher des réponses. Prenez soin de vous.

Laurence Van Accoleyen

Il m’a fallu beaucoup de temps et d’échecs avant de réussir à devenir sobre. J’ai connu la dépendance pendant vingt ans. J’ai mis plus de dix ans à réaliser que j’avais un problème avec l’alcool et dix années de plus pour arrêter de boire. Aujourd’hui, au-delà de mon histoire, j’avais envie de partager avec vous mon témoignage « Dry January ».

La force du Dry January

Avant d’évoquer mes tentatives infructueuses pour relever le défi, je voulais insister sur tout ce que le Dry January m’a offert dès le début de mes essais :

  • L’occasion de questionner ma relation à l’alcool
  • La possibilité de faire une vraie pause d’alcool et d’en ressentir les bénéfices (même si ce n’était que quelques jours au départ)
  • L’apprentissage et le développement de stratégies pour me passer d’alcool
  • L’opportunité d’être soutenue par les autres participants
  • L’avantage d’être encouragée par la communication et les articles liés au Dry January pendant tout le mois de janvier.

La situation au départ :

Quand on est dépendant à l’alcool, les occasions de remettre en question sa propre consommation ne sont pas très nombreuses. De mon côté elles étaient même quasiment inexistantes : je buvais en cachette, personne ou presque ne connaissait mon problème d’addiction. Aussi, ni mes proches, ni mon entourage professionnel ne risquaient d’aborder le sujet avec moi. Les médecins consultés à l’époque de ma dépendance ne m’ont jamais posé la moindre question sur ma relation à l’alcool. J’étais donc « tranquille » pour boire.

Pourquoi le Dry January mérite vraiment d’exister ?

Au niveau de la société en général, l’alcool est un sujet qui reste encore tabou et très largement évité. Quand on en parle, c’est toujours pour mettre en avant le côté festif de la consommation, beaucoup plus rarement pour parler de dépendance. Le Dry January m’a permis de me poser des questions et de réaliser que je ne pouvais pas arrêter de boire si facilement. Il a été le déclencheur de mes premiers pas vers la sobriété. Je suis loin d’être la seule à reconnaître l’utilité de Dry January dans la prise de conscience d’un problème de consommation. Je suis vraiment reconnaissante à ceux qui se sont battus pour l’imposer en France.

De nombreux échecs du Dry January

La première fois que j’ai tenté de relever le défi du mois de janvier sans alcool, j’ai tenu quelques jours seulement. Je n’avais rien anticipé, et rien programmé. Arrêter de boire pendant un mois ne se décide pas à la légère, surtout quand on a un problème de dépendance. A la première tentation j’ai donc craqué sans en être vraiment étonnée. L’année suivante j’ai tenu treize jours, c’était déjà mieux que la première tentative. Et même si c’était un nouvel échec, il y avait quand même une progression. L’année suivante, trop fière de moi, j’ai tenu bon tout le mois de janvier. J’avais, au fil du temps, progressé dans la sobriété et appris de mes erreurs passées.

Le revers de la médaille

Il n’y avait pas vraiment de quoi être fière, car dès le premier février j’ai recommencé à boire, peut-être plus encore qu’avant. Tenir un mois sans alcool m’avait donné bonne conscience et m’a laissé croire que je n’avais pas de problème avec l’alcool. Si je pouvais tenir un mois complet sans boire, c’est que je n’étais pas dépendante ! Sauf que les choses sont plus compliquées que cela. J’en ai pris conscience, là encore, grâce aux expériences vécues avec le Dry January.

Les leçons du Dry January

Le Dry January a été un excellent exercice pour moi. D’abord il m’a permis de réfléchir avec sincérité à ma consommation d’alcool. Ensuite il m’a donné l’occasion d’apprendre et de développer des stratégies pour me passer d’alcool pendant quelques temps. Pour autant, ce défi n’a pas réglé mon problème d’addiction. Arrêter de boire 31 jours de suite n’a pas guéri ma dépendance ni réglé mes problèmes. Même si je pouvais me passer d’alcool un mois entier, il fallait mettre en place d’autres actions concrètes pour changer ma relation à l’alcool. Grâce au Dry January j’ai réalisé à quel point ma relation à l’alcool était compliquée et problématique. L’alcool prenait trop de place dans ma vie et me pourrissait au quotidien. Un mois de sobriété par an ne suffisait pas pour moi, je l’ai compris grâce aux essais ratés et réussis du Dry January.

La sobriété à l’année

Quand j’ai eu le courage de regarder mon addiction en face j’ai pris la décision d’arrêter de boire définitivement. Les « échecs » passés ont été autant de leçons utiles et d’apprentissages intéressants. Arrêter de boire demande du temps. Les rechutes font partie du processus, je les ai acceptées. Après des années de doutes et de peurs j’ai décidé de faire face à mes angoisses sans « l’aide » de l’alcool. Oui, grâce à ce long cheminement, j’ai pu décider qu’il était temps pour moi d’embrasser la sobriété. Il m’a fallu du temps, du courage, des larmes et encore bien des apprentissages pour y arriver mais quel bonheur à la fin !! Ou plutôt quel bonheur au début de ma vie sans alcool.

La liberté retrouvée

Si j’avais su à quel point la vie sans alcool était merveilleuse, je me serais peut-être réveillée plus tôt. J’étais persuadée que je ne pourrais pas me passer d’alcool. Je croyais, à tort, avoir besoin d’alcool pour survivre. Quelle erreur de jugement ! Je propose mon témoignage Dry January pour partager cette expérience d’une vie sans alcool pleine de joie. J’ai retrouvé la liberté, gagné en énergie, en confiance et en courage aussi. L’alcool ne m’aidait pas, au contraire, il entretenait mes peurs et mes angoisses. Maintenant je peux faire face à tous les défis de la vie sans avoir besoin de boire et cela fait toute la différence, croyez-moi.

Après le Dry January

Comme vous l’avez compris, ma vie a été métamorphosée grâce à l’arrêt de l’alcool. Si j’ai un conseil à vous donner c’est de vous servir du Dry January comme d’un merveilleux levier. N’arrêtez pas de vous poser des questions concernant votre relation à l’alcool passé le 31 janvier mais continuez vers plus de sobriété, plus d’apprentissages et plus d’expérimentations d’une vie sans alcool. Laurence Van Accoleyen

Mémo utile

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5 bonnes raisons d’arrêter de boire

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5 stratégies pour refuser l’alcool avec élégance

Un programme pour les femmes

5 conseils pour refuser l’alcool

Quand on fait le choix de ne pas consommer d’alcool, il est difficile de résister à la pression sociale ou aux attentes de notre entourage. Cependant, refuser de l’alcool avec élégance est une compétence précieuse. Elle vous permettra de rester fidèle à vos convictions tout en maintenant de bonnes relations avec les autres. En outre développer votre capacité à dire non renforcera votre confiance en vous. Dans cet article je vous présente 5 stratégies pour refuser l’alcool avec élégance.

1. Soyez ferme mais poli

La première étape pour refuser l’alcool avec élégance est de rester ferme tout en étant poli. Vous pouvez simplement dire « Non, merci » avec un sourire chaleureux. Nul besoin de vous justifier ou de donner des explications détaillées si vous ne le souhaitez pas. Les gens respecteront davantage votre choix si vous le communiquez avec assurance. Après avoir testé de nombreuses stratégies pour refuser de l’alcool, je trouve que la plus efficace est finalement la plus simple : Dire non avec le sourire sans se justifier.

2. Utilisez l’humour pour refuser l’alcool avec élégance

L’humour est une excellente façon de désamorcer une situation inconfortable. Vous pouvez plaisanter sur le fait que vous êtes SAM, le « conducteur désigné de la soirée ». Vous pouvez également dire que vous voulez vérifier si vous êtes aussi drôle sans alcool. Les touches d’humour peuvent vous aider à vous sentir moins jugé et à détendre l’atmosphère. N’hésitez pas à préparer une petite phrase humoristique à l’avance et à la placer au bon moment quand l’occasion se présentera. L’humour et la légèreté sont des outils idéals pour refuser l’alcool avec élégance.

3. Soyez préparé à répondre aux questions

Ne vous sentez jamais en tort de refuser de l’alcool, exposez vos motivations avec calme et confiance. On vous posera certainement des questions sur votre décision de ne pas boire d’alcool. Soyez préparé à répondre de manière positive et honnête. Vous pouvez expliquer que cela fait partie de votre choix de vie pour maintenir une meilleure santé ou un mode de vie actif. Les réponses préparées vous aident à vous sentir plus à l’aise dans ces situations. Si vous participez au Dry January, n’hésitez pas à en parler : Cette initiative est de plus en plus plébiscitée. Vous devriez trouver des oreilles attentives pour parler de votre défi et peut-être même donner envie à certaines personnes de tenter l’expérience.

4. Pensez aux alternatives sans alcool à l’avance

Ayez toujours une boisson sans alcool à portée de main lorsque vous êtes en soirée ou dans un endroit festif. Que ce soit une boisson gazeuse, un jus de fruits ou un cocktail sans alcool, avoir une alternative agréable et prête à être dégustée rendra plus facile le refus de l’alcool. Vous pouvez même offrir de partager votre boisson non alcoolisée avec d’autres convives. N’oubliez pas que les réactions « violentes » face à votre refus de boire de l’alcool en disent plus sur votre interlocuteur qu’il ne veut bien l’avouer. Sans le vouloir votre sobriété confronte vos interlocuteurs à leur propre relation à l’alcool.

5. Entourez-vous de soutien pour refuser l’alcool avec élégance

Si vous vous trouvez souvent dans des situations sociales où il est difficile de refuser l’alcool, il peut être utile de vous entourer de personnes qui comprennent et soutiennent votre choix. Les amis et la famille qui respectent vos décisions rendront plus facile le fait de refuser de l’alcool avec élégance. Vous pouvez également demander à un ou une amie de vous accompagner dans votre sobriété pour les soirées « à risques ». A deux, il est toujours plus facile de faire face aux tentations.

Mémo : 5 stratégies pour refuser l’alcool avec élégance :

Refuser de l’alcool avec élégance repose sur la confiance en soi, la préparation et la communication. Vous n’avez pas à céder à la pression sociale pour prendre un verre d’alcool si ce n’est pas ce que vous désirez. En utilisant ces stratégies clés, vous pouvez maintenir votre intégrité tout en préservant des relations positives avec ceux qui vous entourent. N’oubliez pas que votre choix de ne pas consommer d’alcool est noble et respectable. Alors, la prochaine fois que vous serez confronté à la décision de boire de l’alcool, rappelez-vous ces 5 stratégies pour refuser l’alcool avec confiance et élégance.

  • Fermeté et politesse
  • Humour
  • Réponses à apporter
  • Boissons sans alcool à portée de main
  • Soutien en cas de besoin.

Enfin, pour rester motivé, souvenez-vous de tous les bienfaits de la sobriété et n’hésitez pas à lire cet article complémentaire pour vaincre les tentations.

La lutte contre l’alcoolisme et les addictions est un défi complexe et personnel pour de nombreuses personnes. Trouver des moyens efficaces pour maintenir la sobriété et une vie sans dépendance peut être ardu. Heureusement il existe une solution simple et puissante à portée de tous : marcher pour rester sobre. Dans cet article, nous allons explorer les nombreux bienfaits de la marche pour devenir sobre et le rester.

Libération d’endorphines

L’une des raisons pour lesquelles la marche est si efficace dans la lutte contre les addictions est qu’elle stimule la libération d’endorphines, les hormones du bonheur. L’alcool et les substances addictives affectent le cerveau en libérant des produits chimiques qui procurent une sensation de bien-être artificiel. La marche, quant à elle, déclenche naturellement la libération d’endorphines, créant une sensation de plaisir authentique et durable. Cette « dépendance » positive peut contribuer à réduire le besoin de substances addictives.

Réduction du stress et de l’anxiété

Le stress et l’anxiété sont souvent des déclencheurs de la consommation d’alcool ou de drogues. La marche, en tant qu’exercice physique doux, a démontré sa capacité à réduire ces niveaux de stress et d’anxiété. Elle permet de libérer la tension accumulée et favorise la relaxation. En conséquence, les personnes en rétablissement peuvent trouver dans la marche un outil essentiel pour faire face aux moments difficiles sans recourir à des substances addictives.

Structuration du temps

La marche peut aider à structurer la journée et à remplir le temps autrefois consacré à la consommation d’alcool ou de drogues. En fixant des objectifs de marche quotidienne ou en participant à des groupes de marche, les personnes en rétablissement peuvent créer une routine stable qui remplace les comportements addictifs.

Amélioration de la santé physique

L’abus d’alcool et de substances addictives peut entraîner de nombreux problèmes de santé, notamment des maladies cardiaques, des problèmes hépatiques, et des troubles métaboliques. La marche régulière améliore la santé physique en renforçant le cœur, en régulant la pression artérielle, en aidant à maintenir un poids corporel sain et en favorisant la désintoxication naturelle du corps.

Socialisation positive

L’isolement social est fréquent chez les personnes en rétablissement. La marche peut être une activité sociale, que ce soit en marchant avec des amis, en rejoignant un groupe de marche local, ou en participant à des événements de bienfaisance. Ces interactions sociales positives peuvent renforcer le réseau de soutien de l’individu, offrant un précieux soutien émotionnel.

Focalisation sur les objectifs

La marche peut aider à maintenir la concentration sur des objectifs positifs. Les personnes en rétablissement peuvent se fixer des objectifs de marche, que ce soit en termes de distance parcourue, de temps consacré à la marche, ou de découvertes de nouveaux endroits. Cette focalisation sur les objectifs peut renforcer la détermination à rester sobre.

En conclusion

La marche est bien plus qu’un simple exercice physique. Elle offre un moyen puissant et accessible de soutenir l’arrêt de l’alcool et de maintenir une vie sans addiction. La marche peut jouer un rôle crucial dans le rétablissement et le maintien de la sobriété. Alors, enfilez vos baskets et prenez la première étape vers une vie plus saine et plus équilibrée, libre des chaînes de la dépendance.

N’hésitez pas à me contacter : j’organise des marches accompagnées individuelles ou en groupes.
J’ai testé les bienfaits de la marche dans le cadre de l’arrêt de l’alcool et du maintien de la sobriété.
Je ne peux que partager cette expérience positive avec vous.
Les marches pour rester sobre sont ouvertes aux dépendants et anciens dépendants.
Pour plus d’information : laurence@abcsobriete.fr

Chaque année, de plus en plus de personnes cherchent comment prendre soin de leur santé et de leur bien-être. Arrêter de boire de l’alcool offre de nombreux avantages. Mais pourquoi attendre le Dry January pour se passer d’alcool ? ABC Sobriété lance pour la première fois le Défi Août Sans Alcool et propose à ses participants de se passer d’alcool pendant ce mois d’été. Dans cet article, nous allons explorer les avantages du Défi Août Sans Alcool et découvrir comment il peut vous aider à vous ressourcer et à améliorer votre bien-être.

Un corps en meilleure santé

La consommation excessive d’alcool peut entraîner de nombreux problèmes de santé, notamment des maladies du foie, des problèmes cardiaques et une diminution de l’immunité. En participant au Défi Août Sans Alcool, vous donnez à votre corps l’occasion de se reposer et de se rétablir. Votre foie aura le temps de se régénérer, ce qui peut améliorer votre santé globale à long terme. D’une manière générale, vous passer d’alcool pendant un mois ne peut avoir que des bénéfices sur votre santé.

Une meilleure qualité de sommeil

Défi Août Sans Alcool - Sommeil

L’alcool peut perturber le cycle de sommeil naturel de votre corps, entraînant des nuits agitées et une fatigue persistante. En vous abstenant de boire de l’alcool en août, vous pouvez améliorer considérablement la qualité de votre sommeil. Un sommeil réparateur favorise une meilleure concentration et une plus grande productivité. Vous pourrez également dire adieu aux migraines matinales. A vous les matins remplis d’énergie et de bonne humeur.

Un regain d’énergie

La consommation régulière d’alcool entraîne une sensation de fatigue chronique. En prenant part au Défi Août Sans Alcool vous remarquerez que vous avez plus d’énergie et que vous vous sentez plus alerte tout au long de la journée. Cette énergie supplémentaire peut être utilisée pour vous engager dans des activités physiques ou créatives, contribuant ainsi à votre épanouissement personnel. Vous allez pouvoir faire beaucoup plus de choses et y prendre encore plus de plaisir.

Un esprit clair grâce au Défi Août Sans Alcool

Défi sans alcool - Esprit serein

L’alcool peut altérer votre capacité de réflexion, de prise de décision et de concentration. En éliminant l’alcool de votre vie pendant un mois, vous pouvez retrouver une clarté mentale et une lucidité accrues. Cela peut être particulièrement bénéfique sur le plan professionnel, car vous serez plus concentré et plus productif dans vos tâches quotidiennes. Si vous êtes en vacances, vous pourrez profiter pleinement de chaque instant.

Des relations sociales plus saines

La consommation excessive d’alcool peut souvent entraîner des problèmes relationnels. En participant à ce challenge, vous pourrez redécouvrir des activités sociales qui ne dépendent pas de la consommation d’alcool. Vous pourriez organiser des sorties en plein air, des soirées cinéma ou des activités sportives avec vos amis et votre famille. Cela renforcera vos liens sociaux et vous permettra de créer des souvenirs précieux sans les effets néfastes de l’alcool.

Le Défi Août Sans Alcool offre de nombreux avantages pour votre santé physique et mentale. Si vous en doutez, je vous invite à relever le défi pour expérimenter par vous-même les bienfaits d’un mois sans alcool. Vous pourriez être surpris des résultats positifs que cela peut apporter à votre vie.

Alors, prêt à vous lancer ?

Si vous avez un peu peur, n’hésitez pas à lire ces articles pour vous préparer :

Penser que l’alcool favorise votre sommeil est une fausse croyance qui est encore très présente dans les esprits.

L’alcool aide à l’endormissement, en revanche il diminue sérieusement la durée de votre sommeil paradoxal.

Le sommeil paradoxal est le dernier stade d’une nuit de sommeil et il est reconnu pour jouer un rôle essentiel dans la mémorisation ou encore la créativité.

Au-delà de deux verres d’alcool consommés le soir les effets suivants s’observent :

  • Les nuits sont fragmentées avec des réveils répétés
  • Le sommeil paradoxal est diminué
  • La récupération ne se fait pas correctement
  • Le réveil matinal est précoce et s’accompagne d’une incapacité de se rendormir.

Vous l’aurez compris, l’alcool n’améliore pas vos nuits, bien au contraire.

Vous devez certainement vous retrouver dans ces quelques lignes si vous buvez régulièrement.
En encore, c’est sans compter les matins difficiles et les maux de tête au réveil.

Il suffit de quelques jours de suite sans consommation d’alcool pour retrouver un meilleur sommeil.
En plus, vous retrouverez une meilleure humeur au quotidien.

C’est prouvé, mais je vous invite à l’expérimenter par vous-même. Si vous avez encore peur, le programme d’ABC Sobriété est là pour vous accompagner et vous soutenir.

A noter !! Chez les insomniaques le taux d’alcoolisme est 2 fois plus important que chez les bons dormeurs. Pire, 28 % des sujets insomniaques disent prendre de l’alcool pour faciliter leur sommeil.
Erreur car loin de les aider, l’alcool entretient les problèmes de sommeil.

Alors, êtes vous prête à retrouver des nuits de rêve grâce à la sobriété ? Dire adieu à l’alcool c’est vous offrir de nombreux bénéfices secondaires.

ABC Sobriété accompagne les femmes sur le chemin de la sobriété en toute liberté grâce aux différentes versions du programme : la méthode 100% digitale est à suivre en toute autonomie et en toute discrétion.